Témoignage Bilan de Compétences Delphine Hanser

J’ai fait un bilan de compétences car je me sentais perdue et démotivée. J’avais besoin d’une personne qui comprenne mon côté atypique. Je voulais trouver un métier qui me corresponde vraiment.

Delphine a été empathique, à l’écoute et respectueuse de mon rythme. J’ai repris confiance en mes capacités. J’en ai appris plus sur mon fonctionnement. J’étais souvent épuisée, j’ai compris pourquoi et ce que je pouvais mettre en place pour mieux gérer mon énergie. Nous avons exploré ensemble différentes pistes de métiers afin de préciser mon projet professionnel.

Merci Delphine

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Comment sortir du syndrome de l’imposteur ?

On a parlé du piège. Du cycle. De cette spirale où chaque réussite se retourne contre vous, et nourrit le doute au lieu de l’apaiser. Mais alors, comment on s’en sort ?

La recherche (Sakulku & Alexander, 2011) montre qu’il y a des leviers très concrets. Pas des recettes miracles, mais des dents de castor que l’on peut planter, une à une, dans le barrage mental.

Nommer le cycle

Clance parlait déjà en 1985 du cycle de l’imposteur : une tâche arrive, l’anxiété monte, on se surinvestit ou on procrastine, on finit par réussir… puis on attribue ça à la chance ou au travail acharné, et le doute revient. Savoir que ce cycle existe, qu’il est documenté, c’est déjà une clé. On peut se dire : “ok, je ne suis pas une fraude, je suis juste en train de traverser un cycle connu”.

Accepter un compliment

Un trait typique du syndrome de l’imposteur, c’est de rejeter les retours positifs. Vous minimisez, vous nuancez, vous rétorquez “oui mais…”. Un exercice simple, mais puissant : la prochaine fois qu’on vous félicite, dites simplement merci. Pas de justification. Pas de oui mais. Cela reprogramme doucement votre rapport à la reconnaissance.

Différencier effort, chance et compétence

Les personnes imposteurs attribuent leurs réussites soit à la chance, soit au surtravail. Rarement à leurs véritables compétences. Un outil utile est de prendre le temps d’écrire noir sur blanc : quelles compétences précises ai-je mobilisées ? Cela permet de voir que non, tout ne repose pas sur le hasard ou l’épuisement. Il y a de vraies ressources derrière vos succès.

Réduire l’isolement

Le syndrome prospère dans les environnements compétitifs, élitistes, silencieux. En parler avec un pair, un mentor, un consultant brise la honte. Rien que le fait d’être entendu, de voir que ce que vous traversez a un nom, que d’autres l’ont vécu, allège considérablement le poids.

Mettre des dents de castor

Ce que je propose souvent en bilan de compétences, c’est d’y aller dent par dent. Une dent dans le barrage du perfectionnisme. Une dent dans le barrage de la solitude. Une dent dans le barrage du rejet des compliments. Petit à petit, l’eau passe. Et avec elle, la reconnaissance de sa propre valeur.

En conclusion

Sortir du syndrome de l’imposteur, ce n’est pas se lever un matin rempli d’assurance. C’est reconstruire un rapport plus juste à soi, pas à pas. Et ce travail-là, je le fais aussi dans mes bilans de compétences : il y a le cadre, les outils, les grilles… mais surtout la relation duelle qui se construit, un espace sécurisé pour remettre de la clarté et du souffle.

Et si ce consultant, c’était moi ?

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Syndrome de l’imposteur : imposteurs, posteurs… et dents de castor

Le fameux syndrome de l’imposteur…

Franchement, on le met à toutes les sauces.
Le syndrome de l’imposteur.
Tellement qu’à force, on ne sait même plus ce que ça veut dire.

Mais une chose est claire : ceux qui doutent vraiment ne sont jamais des imposteurs.
Les vrais imposteurs, eux, cultivent la posture. Ce sont des posteurs.

Et ce qui me met en rage, ce n’est pas le doute en soi — douter peut être une preuve de lucidité.
Non. Ce qui me met en rage, c’est cette loi silencieuse :
➡️ plus on est compétent (et souvent plus on est une femme, racisée, ou atypique),
➡️ plus on se sent minuscule,
➡️ et plus on laisse de la place aux posteurs.

D’où ça vient, ce fichu syndrome ?

Le terme a été inventé par Clance & Imes en 1978.
Mais en 2011, une grande revue de littérature a mis tout ça à plat : Sakulku & Alexander.

Ce qu’ils disent :

  • Ce n’est pas une maladie. C’est une expérience psychologique fréquente.

  • Elle touche environ 70 % des personnes au moins une fois dans leur vie.

  • Les ingrédients du cocktail ?

    • Perfectionnisme : mettre la barre trop haut, puis se flageller quand on n’atteint pas l’impossible.

    • Anxiété: avoir l’angoisse en mode par défaut.

    • Messages familiaux contradictoires : “Sois exceptionnel mais ne prends pas la grosse tête”, “Réussir sans effort c’est mieux”, “Tu n’es pas si brillant·e que ça”.

    • Cycle de l’imposteur : mission → surtravail ou procrastination → succès → soulagement → doute → recommence.

Résultat : chaque succès renforce… le sentiment de fraude.

Les conséquences (et elles sont costaudes)

Toujours selon Sakulku & Alexander (2011) :

  • Le syndrome de l’imposteur est fortement lié à l’anxiété et à la dépression.

  • Il est associé au burn-out, à la perte de motivation intrinsèque, au stress chronique.

  • Et surtout, il vole la joie de réussir : chaque victoire se transforme en doute, en culpabilité, en peur d’être démasqué·e.

Bref : le problème, ce n’est pas la compétence. C’est l’incapacité à l’intégrer comme réelle.

Mon travail de castor

En bilan de compétences, je vois passer des gens brillants qui me disent :
“Mais ce que je fais, tout le monde pourrait le faire.”

Non. Pas tout le monde. Pas comme ça. Pas avec cette finesse.

Alors mon travail, ce n’est pas de coller une étiquette “confiance en soi”.
C’est de commencer à mettre quelques dents de castor dans le barrage mental qui les sépare de leur valeur.

Dents après dents, on fissure.
On laisse passer l’eau.
Et petit à petit, la valeur redevient visible, dicible, assumée.

Conclusion glitchée

Le syndrome de l’imposteur, ce n’est pas un bug individuel.
C’est un effet de système, amplifié par nos histoires familiales, nos environnements de travail et nos standards impossibles.

Alors non, la réponse n’est pas de “se convaincre” qu’on vaut quelque chose.
La réponse, c’est de construire des espaces où cette valeur devient indéniable.

Et si on arrêtait de parler des “imposteurs”…
…pour enfin pointer les posteurs ?

 

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Burn-out, TSA, TDAH et traumas : un bilan de compétences peut-il aider ?

Quand le burn-out rencontre l’atypie

Un burn-out n’est jamais simple. Mais quand il s’ajoute à un trouble du spectre de l’autisme (TSA), à un TDAH ou à des traumas, il prend une dimension particulière. L’épuisement n’est pas seulement lié au trop-plein de travail : il s’enracine dans des années de sur-adaptation, d’hypervigilance, de surcharge cognitive.

Beaucoup de personnes atypiques vivent dans cette tension permanente : performer malgré tout, masquer leurs différences, absorber l’imprévisible. Jusqu’au moment où le corps dit stop.

Et pourtant, c’est souvent à ce moment de bascule que le besoin de sens devient urgent.

Un bilan n’est pas une baguette magique

Soyons clairs : un bilan de compétences ne soigne pas un trauma, ni un burn-out. Il ne remplace pas un suivi médical ou thérapeutique.

Mais il peut être un complément puissant, parce qu’il offre un espace pour :

  • comprendre ce qui s’est joué dans la chute,
  • identifier les contextes qui abîment et ceux qui soutiennent,
  • remettre de la clarté là où tout s’est emmêlé.

Pour une personne TSA, cela peut vouloir dire : nommer ce qui surcharge sensoriellement ou relationnellement, et trouver des environnements plus soutenables.
Pour une personne TDAH : distinguer ce qui relève de la dispersion imposée par l’extérieur, et ce qui nourrit réellement la motivation.
Pour une personne marquée par un trauma : retrouver une marge de sécurité pour reconstruire à son rythme.

Ce n’est pas pendant l’incendie qu’on reconstruit la maison

Un bilan n’est pas là pour vous sauver en pleine crise. Mais quand la fumée commence à se dissiper, quand le quotidien reste fragile mais que l’envie de comprendre revient, alors il prend tout son sens.

C’est souvent à ce moment précis que les personnes TSA ou TDAH trouvent une nouvelle solidité : en mettant de l’ordre dans ce qui était ressenti comme du chaos, en distinguant ce qui appartient au trouble de ce qui relève de l’environnement.

Ils ont dit

Quelques personnes accompagnées en parlent mieux que moi :

Léo (janvier 2025)

“En questionnement sur un potentiel TND, j’ai choisi de me tourner vers Delphine Hanser pour un bilan de compétences, et je n’ai clairement pas regretté mon choix. Elle m’a permis d’identifier les caractéristiques de mon mode de fonctionnement et de mieux naviguer cette période chargée (diagnostic, transition professionnelle…).”

Sara (octobre 2024)

“J’ai sollicité un bilan pour mieux intégrer les particularités de mon trouble du spectre autistique dans mon fonctionnement professionnel et personnel. Ce fut un travail intense, profond, riche en enseignements et éclairant. Je suis convaincue que ce bilan changera le cours de ma vie professionnelle, et peut-être personnelle également.”

Alexandre (novembre 2024)

“J’ai voulu débuter un bilan à la suite d’un burn-out sévère et j’ai choisi Delphine pour sa spécialisation dans les troubles dys, ayant été déjà diagnostiqué HPI et TDA/H. Les entretiens m’ont permis d’identifier les causes de mon mal-être, sur le plan professionnel mais aussi personnel, et de lancer sereinement une démarche de diagnostic TSA.”

Accueillir la complexité

Un burn-out n’est pas un échec. Pour une personne atypique, il est souvent le signal d’alerte d’années de sur-adaptation. Le bilan n’efface pas cette histoire, mais il permet d’en écrire la suite avec plus de clarté et moins de culpabilité.

C’est un espace où l’on peut déposer le poids de ses masques, reconstruire des repères, et faire émerger des choix plus justes.

Parce qu’un burn-out, quand il croise l’atypie et le trauma, peut aussi devenir le début d’une vie plus alignée.

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Bilan de compétences 2025 : 3 vraies raisons de le faire

Les clichés à déconstruire

On entend toujours les mêmes refrains :

  • “Le bilan, c’est pour les gens perdus.”
  • “C’est uniquement pour changer de job.”
  • “C’est une formalité administrative.”

En 2025, ces idées ne tiennent plus. Un bilan de compétences n’est pas un GPS qui vous dicte une destination. C’est un espace structuré et humain, qui permet de mettre des mots justes, de relier les pièces du puzzle, et de reprendre la main sur sa trajectoire.

Raison n°1 : Reprendre la main sur son parcours

Le pilote automatique finit par faire dérailler le sens. Le bilan vous ramène au volant : clarifier vos mobiles, traduire vos expériences en compétences transférables, reconstruire un récit professionnel qui ne s’excuse pas d’exister.

Résultat : une vision plus claire et un plan d’action crédible, ajusté à votre réalité (contraintes, santé, charge mentale, logistique familiale).

Raison n°2 : Créer un espace hors urgence

Entre injonctions contradictoires, restructurations et notifications permanentes, il devient rare de trouver un lieu sûr pour réfléchir. Le bilan est ce sas : un temps protégé, sans jugement, où l’on met à plat les options, où l’on teste des hypothèses, où l’on décide ce qu’on garde et ce qu’on laisse.

Cet “hors-temps” évite les choix par défaut (épuisement → fuite → regret). On y travaille à son rythme, avec des jalons, des feedbacks précis et des outils concrets.

Raison n°3 : Révéler ses ressources invisibles

Beaucoup sous-estiment ce qu’ils font naturellement bien, parce que “ça ne leur coûte rien” — et donc ils n’y voient pas de valeur. Le bilan rend visible l’invisible : préférences cognitives, façons d’apprendre, qualités relationnelles, modes d’organisation qui vous ressemblent.

On remet à leur place les “masques” de sur-adaptation (faire parfaitement quelque chose qui épuise) et on renforce ce qui nourrit vraiment la performance durable.

Mon approche spécifique avec les profils TND

Pour les personnes concernées par des troubles du neurodéveloppement (TND) — TSA, TDAH, dys, etc. — le bilan a une valeur particulière. Trop souvent, leur parcours est marqué par la confusion entre “compétence acquise par effort” et “préférence naturelle”. Le risque est grand de s’épuiser dans la compensation, ou de se croire “pas fait·e pour ça” alors qu’il suffirait d’adapter l’environnement.

Mon approche vise à :

  • distinguer ce qui relève du fonctionnement propre de la personne,
  • identifier les zones de fragilité où l’énergie se perd,
  • mettre en lumière les points d’appui pour construire une trajectoire soutenable.

Un bilan devient alors un espace où l’on peut enfin se sentir compris et valorisé, au lieu de devoir “prouver” sa normalité.

Pourquoi en 2025, c’est encore plus pertinent

Métamorphose des métiers (IA, automatisation), hybridation du travail, incertitude économique : naviguer demande de la lisibilité interne et des points d’ancrage solides. Le bilan n’est pas un luxe, mais un levier stratégique pour :

  • poser des limites saines,
  • négocier ses missions,
  • préparer un mouvement choisi (évolution interne, formation ciblée, reconversion).

Pour les personnes atypiques, c’est aussi un moyen d’aligner ambitions, santé et conditions réelles d’exercice — sans se définir par ses “symptômes”, mais par ses ressources.

Ils ont dit

Quelques mots de celles et ceux que j’ai accompagnés :

Isabelle (juin 2025) :

“Je me suis sentie en confiance et libre d’avancer à mon rythme, sans jugement ni pression. Son implication est particulièrement précieuse lorsqu’on est neurodivergente. On sent qu’on est au bon endroit, avec la bonne personne.”

Hélène (juin 2025) :

“Au-delà d’un plan d’action concret et d’une vision plus claire pour la suite, ce bilan m’a apporté des prises de conscience fortes sur mon fonctionnement, bien au-delà du seul cadre professionnel.”

Léo (janvier 2025) :

“Elle m’a permis d’identifier les caractéristiques de mon mode de fonctionnement et de mieux naviguer cette période chargée. Je me sens mieux armé pour m’orienter vers les postes qui me motiveront et identifier celles qui me fatigueront, et pourquoi.”

Conclusion

Un bilan de compétences n’est pas une réparation d’urgence. C’est une manière d’habiter sa trajectoire avec lucidité et exigence douce.

Si vous hésitez, souvenez-vous : ce n’est pas seulement quand “tout va mal” qu’un bilan est utile ; souvent, c’est quand “tout tient à peu près” qu’il révèle le plus — parce qu’on a enfin l’espace d’agir avant que ça casse.

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