Peggy
Delphine est très professionnelle, à l’écoute, consciencieuse, avec une grande capacité d’analyse. Elle est d’un grand soutien pour notre fille. Nous sommes ravis d’avoir croisé son chemin.
Delphine est très professionnelle, à l’écoute, consciencieuse, avec une grande capacité d’analyse. Elle est d’un grand soutien pour notre fille. Nous sommes ravis d’avoir croisé son chemin.
Delphine est une personne qui est à la fois calme, à l’écoute, tranquille, rassurante mais aussi motivante et est capable de donner de bon conseil. C’est une personne gentille et agréable. Elle m’a beaucoup aidé quand j’en ai eu besoin.
J’utilise l’expression de HP* comme un terme générique pour parler des personnes qui se sentent différentes. Il ne s’agit pas d’enfermer les gens mais de pouvoir parler d’un sujet réel en le nommant. Ne jamais oublier que chaque personne est unique ou particulière et toute fonctionne avec une tête, un cœur et un corps. Cela est compatible avec des spécificités particulières qui se traduisent par des comportements et des attentes propres et uniques. Ceux des HP* sont particuliers et en même temps propre à chacun.
En effet, autant de HP, autant de personnes différentes.
(*HPI, HPE, hypersensibilité, TSA SDI ou anciennement autiste Asperger, DYS, TDAH, … )
Il est très important de comprendre que le HPI ne veut pas dire supériorité mais différence par rapport à une norme. Les HPI se trouveraient aux frontières de la norme à droite sur une courbe de Gauss. Cela se traduit par des différences quantitatives et qualitatives sur le plan du fonctionnement cognitif, affectif et sensoriel.
Le terme HPI ou « Haut-Potentiel Intellectuel » est sûrement mal choisi (comme tous les autres termes précocité, sur-douance, zèbre…) car indiquant que la personne serait dotée de capacités exceptionnelles incluant une notion de degrés hiérarchiques d’intelligence.
Si on utilise les tests de QI pour poser des diagnostics, cela ne dit pas tout. Il faudrait élargir cette façon d’analyser car il existe plusieurs formes d’intelligences. L’intelligence devrait s’analyser de façon globale et non pas uniquement d’un point de vue intellectuelle. D’ailleurs, pourquoi une personne avec un QI élevé rencontre-t-elle des difficultés ?
Il est important de resituer le HPI dans un monde où tout le monde est différent et a une altérité propre. Cela constitue d’ailleurs notre richesse.
Il faut comprendre que les HPI se situent en dehors de la moyenne de la majorité de la population.
Par exemple on trouve normal qu’une personne mesure entre 1,60 et 1,80 et l’on trouve anormal une personne qui mesurerait 1,40.
Autant de personnes HP, autant de personnes différentes.
Un dénominateurs commun observé sur le terrain à l’occasion des séminaires et accompagnements
Voici une liste complémentaire des spécificités observée de façon plus ou moins récurrente :
Tout l’enjeu de Variations RH est de permettre de comprendre que ce n’est pas parce que l’on se sent différent que l’on n’a pas droit à se sentir bien et de trouver sa place professionnelle/personnelle.
Tout passe par la compréhension de ses spécificités et de prendre conscience de ce qui se passe et d’en mesurer les conséquences ou les effets.
Voilà tous les secrets de l’état de bonne santé du HP* lui permettant de vivre heureux malgré ce sentiment de différence, de s’aimer comme il est et de trouver ce qui lui convient en terme de projet professionnel (comme personnel)
C’est avant tout se respecter et ne pas chercher à rentrer dans la norme, mais s’accepter tel que l’on est. Ne pas se respecter équivaudrait à s’amputer d’une partie de soi. C’est cette amputation qui entraine le mal-être.
C’est aussi apprendre à vivre avec ce sentiment de souffrance qui peut être ressenti en l’assumant.
Un parcours adapté dans le respect du bilan de compétences éligible au CPF et respectant la norme QUALIOPI; 14h en face à face, présence, visio, téléphone ; 10h de travail personnel soit 24h en tout. Les séances normalement de 2H tous les 15 jours avec toujours le souci de s’adapter aux besoins de la personne : un véritable sur mesure dans le respect d’un cadre.
…pendant 6 mois après le bilan pour poursuivre le travail de la mise en action et apporter l’aide nécessaire (le CV, préparation à l’entretien, définition d’une démarche réseau, soutien moral pour vérifier que la mise en route se passe bien, que le travail à faire se fasse, disponibilité pour répondre aux questions qui apparaissent…)
permettant aux HP de se connaitre et de se reconnaitre en profondeur et en particulier le croisement du questionnaire de personnalité jungien et un questionnaire de personnalité construit avec l’apport des neurosciences, Emergenetics
qui ont une grande connaissance des personnes HP* et des qualité intrinsèques d’écoute, de non jugement de bienveillance, dotées de créativité pour trouver des chemins originaux si nécessaire, une grande connaissance de la maïeutique, la clarification de la pensée parfois confuse par le dialogue et l’art du questionnement.
indispensable rappelant
– les engagements de chacun, le respect des RV, la bienveillance, l’écoute et tout ce qui semble utile pour le bon déroulement des séances.
– définissant le planning dans le respect des disponibilités des parties
Sophie
Dans le respect du cadre légal, un bilan sur un mode coaching pour vous accompagner à retrouver la motivation, le sens.
Un Bilan d’Orientation pour apprendre à mieux se connaitre afin de pouvoir choisir son orientation professionnelle.
Le recrutement sur mesure. Variations RH vous aide à trouver la bonne personne adaptée à votre besoin spécifique.
Un échange sans aucun engagement! Par mail, SMS, Visio ou autre, à vous de choisir votre mode de communication le plus confortable, il suffit de nous le préciser.
Honnêtement, les études supérieures et moi c’était pas gagné : j’ai redoublé trois fois dans mon cursus supérieur après des études dans le secondaire sans faute, couronnées par une mention très bien au bac.
Notez-bien que je ne dis pas ça pour me la péter, mais pour illustrer à quel point la chute et la transition furent rudes de tête de classe aux tréfonds du classement.
J’ai connu la réussite académique, et j’ai connu la désespérance profonde des échecs à répétition, de la quête de sens ou d’une voie d’orientation qui n’aboutit pas.
J’ai donc redoublé trois fois, et j’ai changé quatre fois d’établissement, et j’ai fini par obtenir un master 2 au bout de huit ans. J’avais fait le job in fine – mes deux dernières années ont été des années normales, et enfin gratifiantes, mais ces huit ans m’ont épuisé, dégoûté.
23 ans après, rétrospectivement, je connais les raisons de ces galères et il m’a fallu un long processus de plus de trois ans pour comprendre tout ça et dévider les fils de ma pelote personnelle.
La question de la formation s’est posée environ un an après mon bilan de compétences. Mon projet s’affinant peu à peu, évoluant par à-coups, j’ai eu besoin de me former. Pourquoi ? Parce que simplement j’aime apprendre, j’aime aussi aller au fond des choses, et si possible savoir de quoi je parle ^^
Je me suis assez longtemps interrogée, n’arrivant pas à regarder autre chose que des formations « privées » plus ou moins longues et très payantes. J’étais encore conditionnée par mon ancien milieu professionnel et j’avais du mal à élargir mon champ de perspectives.
Quelques mois plus tard (oui c’est long ^^), après deux entretiens avec une admirable psychologue de Pôle Emploi, en train de rechercher des éléments dont elle m’avait parlé, tout ce que je trouvais tombait dans le champ d’étude de la psychologie. Et là, bim (paf, badaboum, ce qui fonctionne pour vous), le besoin impérieux de m’inscrire en licence de psychologie s’est imposé.
Pour une fois, j’ai eu de la chance, et je suis tombée pile poil dans les clous à la fois pour Parcours Sup et pour déposer des dossiers de validation d’acquis à l’Université, pour accéder directement en L2.
J’ai posé une candidature pour une L1 Psycho à l’Université Jean Jaurès sur Parcours Sup, et une candidature en L2 via une VA85, validation des acquis par expérience professionnelle. J’ai foncé, bille en tête, sans arrière pensée, j’ai tout donné pour le dossier, et rétrospectivement, je ne suis pas sûre qu’il fût nécessaire de stresser autant…
Le grand moment de cette période, sans conteste, aura été le moment de l’inscription administrative à la fac, où je me suis revue littéralement vingt ans plus tôt face au même type de formulaire, rentrant les même choses dans les même champs, sauf que là, c’était une formation que j’avais choisie et pas subie.
Parfois, on se sent puissamment en phase avec soi-même, parfaitement aligné et c’est ce que j’ai ressenti à ce moment là. Comme on le verra plus tard, il est bon de se rappeler de ces moments là ; quitte à les noter quelque part, c’est très utile pendant les moments de doute et/ou de galère.
Reprendre ses études à quarante ans, après une première partie de vie familiale, et professionnelle, est un challenge. Dans mon cas, la montée en pression à été progressive, et les partiels en ont été le point d’orgue. (Pour l’instant, j’ai le sentiment de ne pas être au bout de mes peines)
C’était assez drôle de retourner à l’Université « physiquement », de trainer des pieds, en retrouvant le pas nonchalant de l’étudiante que je fus, remettre son bon vieux Eastpack sur les épaules et déambuler dans une nouvelle fac. La troisième depuis mes débuts 🙂
Assez rapidement, j’ai repris mes vieux réflexes d’étudiante, mais en mieux. J’ai vieilli, j’ai mûri, et il est très plaisant de constater qu’on ne repart pas de zéro, mais que l’expérience a bonifié la façon que j’avais d’aborder les cours.
Un autre point réjouissant : le constat que refaire travailler son cerveau, et notamment en terme de mémorisation, a un effet très rapide sur nos fonctions cognitives. C’était vraiment un sujet d’inquiétude me concernant : après toutes ces années, est-ce que mon cerveau ne s’était pas trop ramolli ?
Réponse : oui, il s’était franchement ramolli sur les compétences attendues d’un étudiant, et notamment engranger les cours, se remettre dans une situation d’apprenant « scolaire » MAIS ! tout est revenu très vite. Il faut vraiment se tranquilliser de ce côté-là.
Les deux parties les plus difficiles ont été de mon point de vue encaisser la masse de travail sur la fin de semestre : deux dossiers en groupe à rendre viennent faire exploser la charge dédiée aux études et bouleverser les emplois du temps, et sur la fin d’année, il a fallu accepter de passer tout mon temps libre ou presque à bûcher.
Reprendre ses études en travaillant pèse lourdement sur l’organisation familiale, autant y être préparé, anticiper au maximum les soirées de cours, de travail en groupe : faites fonctionner la solidarité pour les repas, les enfants, ou comme dans mon cas, apprenez les basiques de la cuisine à vos enfants, ça sera toujours utile ^^
Ne cherchez pas l’exhaustivité ou la perfection, il y a des rattrapages, des possibilités de passer vos années en plusieurs fois…
Facile à dire je vous l’accorde, mais on y laisse des plumes au moment des fêtes…
A l’heure actuelle, j’attends les notes du premier semestre, et les cours ont redémarré pour le deuxième. Je change avec plaisir mes méthodes de travail, j’utilise de nouveaux outils : WooFlash, Audacity, j’apprécie réellement de voir comment ont évolué mes méthodes d’apprentissage en vingt ans.
Avoir choisi ce cursus, qui fait écho à mon travail de cheffe de projet « Outils Numériques » chez Aspie-Friendly, et bien sûr également aussi à ma démarche de proposer des bilans (orientation, compétences) ou accompagnements (organisation, « job coaching »…) fait parfaitement sens et me nourrit déjà dans mes pratiques au quotidien.
Je retiens de mes apprentissages de ce semestre (nonobstant mes notes…et j’ai conscience du luxe que j’ai de reprendre les études avec déjà un diplôme de Master 2 en poche) :
Que me réserve la suite ? Je ne sais pas… beaucoup de révisions, d’apprentissages, de découvertes. Probablement des ascenseurs émotionnels, des coups de stress et des bulles de joie. Sans doute des déceptions, des portes ouvertes qui vont se refermer, et des portes dont je ne soupçonne pas encore l’existence qui vont s’ouvrir….
A suivre donc, en attendant, cap sur la psychologie cognitive, sociale et les neurosciences !
Delphine H.
2 mars 2023 – Ollioules
Animé par : Sophie Barbet-Massin et Delphine Hanser
Perspectives : Une journée de rencontre et d’échanges entre pairs Hauts Potentiels/hypersensibles, et personnes appartenant à la neurodiversité autour du sujet de l’intuition, de la créativité et de l’innovation.
9h -9h30: Café d’accueil
9h30-10h: Rappel du cadre (bienveillance, confidentialité, non jugement, écoute…) et présentation de chacun
10h-12h30: Apports servant de support à l’échange
12h30: Déjeuner
14h-15h : Atelier 1, surprise!
15h-15h15: pause
15h15-16h: Atelier 2 en binôme
16h-17h: Bilan sous forme créative
17h-17h30: Tour de table
Nos valeurs : Confidentialité, écoute, sincérité, intégrité, non jugement, bienveillance.
Point important : Ce séminaire n’est pas une thérapie. Nous attentons des participants une attitude positive et bienveillante et le respect de l’autre.
Sophie Barbet-Massin, Consultante RH coach, accompagné depuis 5 ans les personnes HP/Hypersensibles. Son savoir-faire s’appuie sur son expérience (20 ans en RH, chasse, entreprise et libérale dont 3 ans avec Matthieu Lassagne) , sa grande sensibilité, son ouverture, sa spontanéité bienveillante et sa grande créativité.
Delphine Hanser, Manager reconnue pour son approche innovante et son attachement à la réussite de chacun, capable d’appréhender des situations complexes et riches en information, Delphine Hanser met ses compétences d’analyse et ses capacités d’écoute active au service de vos projets d’évolution personnelle et professionnelle.
Elle enrichit son approche de l’accompagnement par sa curiosité et sa capacité à innover pour aider l’autre à se développer en harmonie avec lui-même.
Elle a aussi une connaissance très concrète de la neuro-diversité, les questionnements du TSA, HPI, Dys, TDAH faisant partie de son quotidien.
Pour plus de renseignements, contactez-nous via le site, ou sophie.bm@rheatis.com ou via le formulaire de contact: